Le bébé du papillon

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Tom est né il y a 7 jours

dimanche 31 janvier 2010

Vade retro, poussette Chicco

Journée de soldes programmée avec Maman Blabla. Le matin même, Super Papa me tanne pour que je prenne la poussette. Chose que je ne fais jamais seule. Je préfère mille fois porter Tom. Mais voilà, l'idée d'essayer des jeans avec une patate sur le dos ne m'enchantant guère, je me laisse tenter.

Je positionne Tom sur la poussette même, face à la route. Plus besoin du cosy depuis quelques temps déjà. A peine sortis de notre immeuble, je déteste déjà cet engin du diable. C'est lourd, c'est pas pratique à manier...et puis je ne vois pas Tom. Pis en plus il pleut...Bref. La journée démarre mal.

Tom appréciera la nouveauté...1 heure. En plein H&M, il se mettra à chouiner...et retrouvera un sourire immense à la vue du Manduca. Me voici donc, Tom sur le ventre, à pousser une poussette vide... Après le déjeuner, j'essaierai de le remettre dans sa poussette, le temps de quelques essayages, qui tourneront au véritable fiasco...Tom est fatigué, il veut être contre sa mère et dormir sur son coeur...

Au final, épuisé par ses pleurs, il s'endormira dans la poussette. Sur le chemin du retour, je me sens mal, très mal. Je ne comprends pas cette tristesse, j'ai pourtant passé une bonne journée en compagnie d'une copine, j'ai fait plein de beaux achats...mais voilà, c'est assez étrange, comme si je culpabilisais de l'avoir trimballé dans ce truc, et pas contre moi.

La poussette est et restera le domaine réservé de Super Papa. C'est décidé, je ne la touche plus.

Et pour les curieuses, de nouvelles photos par ici !

vendredi 29 janvier 2010

Décrassage...et le vrai cette fois-ci !

Non parce que la dernière fois, c'était vraiment le décrassage made in fégniasse. :-)

Les couches de Tom fuitaient, j'ai vite compris qu'un vrai décrassage digne de ce nom s'imposait. Je n'ai pas cherché bien loin, j'ai suivi les recommandations d'une internaute fort connue sur Docti, ilfaitsoleil, qui donne sur son blog la recette
d'un vrai décrassage.

Et là, ça dure pas le temps d'un cycle de machine...ouh là non...ça dure 3 jours. 24 heures de trempage dans une mixture d'eau, de liquide vaisselle et de cristaux de soude, et 48 heures dans un seau, à sec. Tu termines par un cycle de machine, à 60°, et hop, au séchage.

N'ayant pas envie de re-décrasser de sitôt, j'ai cherché la cause de mon encrassage, et je l'ai trouvé grâce aux Mamans Natures (toujours sur Docti) : ma lessive ! Selon
cette récap des bonnes et mauvaises lessives pour couches lavables, ma lessive fait partie de celles qui n'ont pas bonne presse.

Et comment faire pour laver mes couches sans redouter les fuites ? Ben faire ma propre lessive ! Pour cela, il me fallait du savon de Marseille sans glycérine et en paillettes, que j'ai trouvé à
la Licorne, savonnerie marseillaise.

100 grammes de savon, 3 litres d'eau chaude, un peu d'huile essentielle d'arbre à thé, un peu d'huile essentielle de lavande...et le bonheur de faire sa propre mixture.

Dommage que le rendu soit liquide, j'aurai bien caché un cadeau dedans. :-)

mardi 26 janvier 2010

Communication familiale - 1ère rencontre

Cette première rencontre avait pour thème : "aider les enfants aux prises avec des sentiments pénibles".

Après un rapide tour de présentation des 6 mamans présentes, je me rend compte que je suis la seule à être venue en "prévention". La majorité des mamans ont des enfants entre 2 et 4 ans, et si elles se sont inscrites à cet atelier, c'est pour avoir des réponses rapides. Je suis ravie, leurs expériences vont m'enrichir.

Le thème du jour est donc celui des sentiments pénibles que peut ressentir un enfant. Après avoir fait la différence entre émotion et sentiment, et après avoir listé tous les sentiments possibles (colère, frustration, tristesse, ect...), nous avons abordé des situations pratiques. A l'aide de notre cahier de travail, d'exercises et de bandes dessinées, nous avons appris à répondre à nos enfants, en les é-cou-tant.

L'idée, c'est d'essayer de ne pas nier ce que peut ressentir l'enfant. Ni de chercher à comprendre le pourquoi du comment. Au final, c'est apprendre à écouter ses sentiments. Lui donner la possibilité d'exprimer ce qu'il ressent. Par exemple, si un enfant se plaint que son nouveau petit frère ne lui plait pas, au lieu de lui répondre un "mais tu verras, tu apprendras à l'aimer" ou un "mais pourquoi tu ne l'aimes pas ? parce que tu ne peux pas jouer avec lui ?" ; il faudrait simplement lui répondre "je comprends que tu sois en colère". Et rien de plus...laisser la possibilité à ces sentiments négatifs d'émerger. Et laisser la possibilité à son enfant de s'exprimer, librement.

Je suis repartie, Tom en écharpe, mon cahier de travail sous un bras, et sous un autre les 2 livres qui ont inspiré cette formation :
Ecouter pour que les enfants parlent, Parler pour que les enfants écoutent & Parents épanouis, Enfants épanouis. Ces 2 livres ont été rédigées par 2 québécoises, Adele Faber et Elaine Mazlish.

Second atelier prévu pour lundi prochain, et en attendant, j'ai des devoirs à faire. Si si, je vous jure.

Et le pire, c'est que j'adore ça. :-)

dimanche 24 janvier 2010

Maladeuh...

En voyant les 2 incisives supérieures de Tom, on pensait être tranquille avant la prochaine poussée dentaire. En effet, on a été tranquille...

...48 heures. Youpi.

Maman Papillon a donc ressorti son savon de fiel, son mouche-bébé et son doliprane. Tom a passé quelques jours difficile, avec nez bouché, fièvre et humeur très chafouine. Il faut savoir que Tom est un parfait petit mâle quand il est malade : on le croirait au bord d'un coma stade 4...alors qu'il n'a qu'un rhume, et un petit 37.9° de fièvre. :-)

Mais cette fois-ci, il nous a offert une nouveauté : le refilage de microbes. Non content d'épuiser les nerfs de sa mère, il a décidé d'achever ses capacités physiques. Et ayant eu la bonne idée de laisser trainer mon rhume...il s'est transformé en superbe rhinopharyngite. Re-Youpi.

Je ne conseille pas la boisson d'un grog bien tassé de rhum, le matin et à jeun. Heureusement que Super Papa était là pour prendre le relais auprès de la patate. :-)

jeudi 21 janvier 2010

Motricité

Ah...en voilà un sujet qu'il est intéressant. La mo-tri-ci-té. Vaste sujet chez certains enfants...ou pas, comme par chez nous. :-)

Tom est passionné par beaucoup de choses : les télécommandes, les appareils photo ou les belles brunes. Mais le déplacement de son propre corps...il s'en cogne le chavrou. Mais alors, ro-yal.

Et pourtant, c'est pas faute d'avoir tout tenté pour le bouger : et vas-y que je montre comment te retourner sur le ventre, et vas-y que j'essaie de te tenir debout, pour te faire découvrir la sensation...sensation dont il se fiche éperdument.
Et là, j'ai fait l'erreur monumentale de lire un peu les progrès des autres brins de muguet. Et entre celui qui se tient debout depuis ses 6 mois, celui qui crapahute depuis ses 7 mois ou celui qui commence l'entrainement pour le marathon de New-York...là, tu prends peur. Tu commences à te demander si tu n'as pas engendré un escargot. :-)
Et puis...je suis tombée sur ce lien formidable :
la liberté motrice. Cet article explique les vertus de ce concept, qui se résume à laisser son enfant découvrir sa propre motricité, tout seul et à son rythme. Le graphique exposant les dates moyennes de chaque étape est déculpabilisant et très rassurant.

Tom se tient assis depuis Noël. Mais c'est tout. Enfin non...ce n'est pas tout. Il vocalise aussi, il rit, il sourit. On commence à deviner des "papa" et des "maman"... On dit souvent qu'un enfant, soit marche tôt, soit parle tôt...

M'est d'avis que l'on a fait un bavard. :-)

(Et pour les curieuses, de nouveaux clichés par ici !)

mardi 19 janvier 2010

Maternage...

Maternage. En voici un mot à la mode. Maternage par ci, maternage par là. Mais le maternage...c'est quoi au juste ?

Soyons factuel et
cherchons la définition dans le dictionnaire : "relations affectives entre une mère et un enfant exprimées à travers les soins d'élevage et d'éducation". Hum. Je nous sens pas des masses avancés là, hein ? ;-)

Trêve de plaisanterie. Le maternage, je ne m'y suis intéréssée qu'il y a peu. C'est en surfant à la recherche de couches lavables ou de modes de portage que j'ai eu vent du concept. Et je me suis rendue compte que la pratique m'est venue avant même la théorie. Parce qu'au final, depuis que Tom m'a été posé sur mon coeur, je n'ai fait qu'écouter mon instinct de mère. Presque de manière animale. Telle une louve, je le berce quand il est fatigué. Je dors avec lui s'il est angoissé. Je le porte pour qu'il découvre le monde contre sa mère. Je joue, je danse, je chante avec lui. Telle une louve, je le regarde grandir, jamais très loin de lui...

Et au diable les jugements sur ma façon de faire. Au diable les "tu vas en faire un capricieux". Je n'écoute que mon coeur, que mon corps. Je continue à suivre cet instinct qui m'anime, depuis bientôt 8 mois.

Mais je sais que bientôt, oh oui bientôt, mon instinct de mère ne suffira plus. Je redoute la phase d'opposition des 18 mois, celle où Tom va grandir, où il va s'affirmer et où il lui faudra des limites.

Je ne juge pas l'éducation que mes parents m'ont donné. Elle a fait la femme que je suis. Elle m'a appris le sens du travail, de l'argent, le respect d'autrui. Mais je ne veux pas reproduire les punitions corporelles. Je ne veux pas qu'un jour mon fils puisse avoir peur de moi, comme j'ai pu, parfois, avoir peur de mon père.

Alors je me suis inscrite à
un atelier de communication familiale, au Zèbre Zen. En 7 sessions de 2 heures, de nombreux points seront abordés, comme les émotions de l'enfant, les limites à poser ou encore la résolution des conflits.

Mais parce qu'une éducation se donne à 2, Super Papa et moi allons aussi assister à
des rencontres Parents-Professionnels, encore et toujours au Zèbre Zen. 3 rendez-vous sont programmés d'ici la fin de l'année, sur des thèmes différents mais complémentaire, comme les colères ou les limites à poser.

L'éducation d'un enfant tient compte de beaucoup de paramètres : l'histoire des parents, la personnalité de l'enfant, le cadre où tout ces protagonistes évoluent. C'est une aventure extraordinaire, mais loin d'être simple...

C'est bien pour ça que je m'y prends si tôt. ;-)

dimanche 17 janvier 2010

Préparation du baptème - première rencontre

J'avoue, c'est à reculons que nous nous sommes rendus à cette fameuse rencontre. Echaudés par notre préparation au mariage, nous ne savions pas à quoi nous attendre. Et nous avons été plutôt surpris.

Nous savions que nous allions rencontrer les parents désireux de baptiser leur enfant pour ce début d'année. Nous pensions affronter des dizaines et des dizaines de couples...au final, nous nous sommes retrouvés à 4...

...et avec la chance qui nous caractérise, 2 couples, 2 bébés et une seule date. Le 21 mars. Il va donc falloir partager notre cérémonie.

Nous pensions aussi nous retrouver devant le prêtre responsable des baptèmes, et pas du tout. Ce sont 2 laïques qui nous ont reçu. Avec eux, nous avons évoqué les raisons qui nous poussent à baptiser Tom. Nous avons aussi discuté autour de la symbolique de ce sacrement. Et par extension, à la façon dont un chrétien se positionne face au miracle de la vie.

Loin de m'ennuyer, j'ai au contraire passé un moment enrichissant, chaleureux et instructif. Ces laïcs étaient sincères et francs dans leur propos. Lors de cet échange, je me suis rendue compte que la naissance de Tom me pousse vers quelque chose de plus spirituel. Je ne saurai l'expliquer, mais j'ai comme un besoin de me rapprocher de Dieu.

Ce qui ne fut pas le cas de Tom, véritable petit démon pendant la réunion...A-t-il compris qu'il ne sera pas l'unique vedette de ce grand jour ?

Et pourtant, nul doute qu'il va faire sensation...sa tenue a enfin été trouvé (merci Jacadi !), et tout ce que je peux dire, c'est qu'il sera à croquer. ;-)

jeudi 14 janvier 2010

Et de 3 !

Ah ben voilà pourquoi la dernière poussée dentaire avait été costaude !

Ce n'est pas une, ni deux, ni même trois...mais quatre dents que Tom nous préparait sous la gencive ! Et c'est Maman Blabla qui m'a fait remarquer, ce midi, l'arrivée de la première incisive de Tom !

Et pourtant, ce n'était pas faute d'inspecter sa bouche tous les jours...mais voilà, Tom n'aime pas montrer ses gencives à sa mère...mais pour ce qui est de rire à gorge déployée dans les bras d'une belle brune...alors là...ça ne pose aucun souci, évidemment.

(Maman Papillon en mode "je commence à jalouser les copines de mon fils - ça promet pour dans une quinzaine d'années". :-) )

Donc, en effet, on voit bien la première incisive supérieure. Et l'on peut nettement distinguer l'arrivée des 3 voisines.

"Ö temps, suspends ton vol, et vous heures propices, suspendez votre cours." (Alphonse de Lamartine)

mardi 12 janvier 2010

La fameuse crise des 8 mois

Ah je l'attendais de pied ferme celle là. J'avais potassé le sujet, expliqué à Super Papa la chose... Ne manquaient plus que les symptômes en somme.

Pour faire un rapide résumé, la crise des 8 mois représente une étape importante pour le bébé : il réalise que sa maman n'est pas une continuité de son propre corps, qu'elle peut partir et même ne pas revenir. D'où les crises de larmes incontrolées dès qu'il se retrouve seul. Il sait aussi différencier son entourage proche des étrangers. D'où sa nouvelle peur des visages qui lui sont inconnus.

C'est un soir, alors que nous mettions Tom au lit, que les premiers symptômes sont apparus. Alors que généralement, il s'endort tout seul, ce soir là, il ne pouvait s'arrêter de pleurer dès que nous quittions sa chambre. Des pleurs terribles, profonds, remplis d'angoisse. Nous avions beau le rassurer, rien n'y faisait. Je l'ai alors endormi dans mes bras, et tranquillement reposé dans son lit.

La nuit qui suivit fut terrible. Tom se réveilla toutes les heures, pleurant à chaudes larmes dès qu'il se retrouvait seul. Il ne dormait bien que dans notre lit, rassuré par notre présence. La journée, je ne pouvais quitter une pièce sans provoquer ses foudres. Les pleurs étaient déchirants, on sentait qu'il était profondément apeuré.

Les angoisses ont duré une bonne dizaine de jours. C'est Super Papa qui a trouvé une parade pour que les nuit soient moins difficiles : il a déposé dans le lit de son fils un de mes vieux tee-shirts, et cela semble apaiser Tom. Le coucher est encore difficile, mais quelques aller-retours et des paroles apaisantes semblent calmer Tom. Il se réveille encore la nuit, souvent entre 1 et 2 heures du matin, mais là encore, la sucette et un bisou sur son front ont tendance à l'apaiser.

Par contre, il se semble pas avoir encore peur des étrangers. C'est pas demain la veille que Tom va lâcher ses plans drague. :-)

dimanche 10 janvier 2010

Comme un poisson dans l'eau

C'est vraiment ce titre qui m'est apparu comme une évidence, ce matin, alors que l'on barbotait tous les 3 dans ce bassin bien chaud.

Des jours et des jours que l'on attendait ça. Des jours et des jours que l'on en parlait à Tom, dans son bain. Super Papa décomptait même le nombre de journées restantes, c'est pour vous dire !

Et ce fameux dimanche est arrivé. Et c'est couvert comme des inuits que nous sommes arrivés au centre, à 9h pétantes. Les parents se changent chacun dans leur vestiaire, se refilant Tom comme une patate chaude. Ce dernier sera changé au bord de la piscine, là où la température est la plus chaude.
C'est Super Papa qui prendra Tom dans ses bras pour le mener dans le bassin...et la chose se passera de la manière la plus naturelle qui soit. Il va adorer ces moments, on va le voir rire, sourire...même essayer de boire l'eau de la piscine. Il va regarder les autres bébés avec beaucoup de curiosité, il va aimer se mettre allongé sur le ventre dans l'eau, il va même essayer de nager avec ses petites mains !

Le cours au final n'en est pas un, c'est plutôt un temps libre, ouvert aux parents, ces derniers étant surveillés par une monitrice qui n'est jamais loin en cas de question ou de besoin. Des jouets, un tapis sont au centre de la piscine, et les parents vont, viennent et profitent de ces moments magiques.

Nul besoin de préciser que Maman Papillon versera sa petite larme, submergée par l'émotion de voir son bébé si heureux. Et si fière quand la monitrice nous dira, en fin de session : "mais il est super cool votre fiston !"

Oh oui il est cool, il est beau, et qu'est ce que je peux l'aimer !

Pour les curieuses, voici la nouvelle fournée de clichés, avec quelques photos de nos exploits aquatiques !

jeudi 7 janvier 2010

Le "up & down" de Tom (épisode 6)

J'aime...
- crier. Oui parce que bon, les pleurs, c'était sympa 6 mois, mais maintenant j'ai étendu ma gamme vocale. Et j'adore crier. Pour appeler les vieux. Le matin, s'ils tardent à venir me chercher dans mon lit, je crie. Fort. Même les week-ends. Youpi, comme dirait ma mère.
- que l'on respecte mon rythme. Je suis un bébé relativement gentil, mais casanier. J'aime ma petite sieste devant les Feux de l'Amour, j'aime mes habitudes et ma routine. Si les vieux décident de me décaler, je ferai bonne figure à l'extérieur, car je suis un parfait bébé de société. Mais arrivé à la maison... ;-)
- l'application du panio du l'IPhone. Super Papa en avait ramené un à la maison, pour que Maman le teste. Et j'ai tout de suite adopté l'application du piano. Je tapais comme un petit fou dessus, tout content d'entendre mes propres notes. 7 mois et déjà accro à Apple.

J'aime pô...
- qu'on ouvre des cartons devant moi. Ca fait un bruit monstre et moi ça me fait peur. Je sursaute et je pleure à tous les coups. Faut dire que mère est une vraie bourrine...
- les betteraves. J'aime pô ça. Et le panier bio a du se liguer contre moi, parce qu'on y a droit chaque semaine. Maman prie pour que cela passe mieux avec la viande...

Ca s'arrête quand la saison des betteraves ? :-)

mardi 5 janvier 2010

Visite au pédiatre - 7/8 mois

Ce qu'il y a de bien avec Tom, c'est qu'on ne s'ennuie jamais dans une salle d'attente. On le pose sur nos genoux, on le met face à l'assemblée féminine...et c'est parti pour un sketch façon "Dubosc - pour toi Public" : et vas-y que je souris, que je rigole, que je me tortille, que je lance des areuh... Ce bébé a inventé la drague, c'est pas possible. :-)

Bref. Après avoir fait le point habituel, la pédiatre nous donne le feu vert pour démarrer l'introduction de la viande dans les légumes de Tom. D'abord le boeuf, puis la volaille et enfin le jambon. Le tout sur une dizaine de jours.

Tom a bien grandi ces 6 dernières semaines : + 200 grammes (8,5 kgs) et + 2,5 cms (66,5cms). Lors de l'examen, la pédiatre l'a trouvé très souriant, très ludique et très joueur. Elle l'a aussi trouvé très intelligent : une mère n'aurait pas pu être plus fière de son fils qu'en cette instant même.

A un moment, elle a voulu le mettre assis. Mais Tom n'étant pas d'humeur, s'en est suivie une belle gueulante. Elle a voulu regarder ses gencives, mais il a repoussé le languette de bois d'une belle mandale... Elle nous regarde et nous fait "Et bien...ce petit sait se faire respecter hein ?"

J'aurai peut être du préciser que son surnom de grossesse, c'était Rocky. :-)

dimanche 3 janvier 2010

Parce que je sais pas vous...

...mais moi je ne m'en lasse jamais...

vendredi 1 janvier 2010

2010 : nous voilà !

2009 est officiellement derrière nous. Et quand Forrest Gump dit que la vie est une boîte de chocolats, je crois qu'il a diablement raison. Qui aurait cru, en trinquant à 2009...
- que Tom serait un bébé plus que bien portant, quand on nous a répêté que Rocky était un tout petit gabarit ?
- que je n'ai pas tenté d'assassiner ma sage-femme pendant mon accouchement, qu'au contraire même, j'ai plaisanté sur notre président en pleine poussée ? ("Madame, il faut pousser plus fort ! Enervez vous un peu !" ... "Ok, je vais penser à Nicolas S.") :-)
- que je deviendrai la femme au foyer la plus épanouie qui soit, à adorer tricoter, cuisiner, apprendre à coudre et plein d'autres choses encore...
- que je me transformerai en maman louve, songeant sérieusement à une approche thérapeutique pour m'apprendre à lâcher Tom...
- que l'arrivée de notre fiston révolutionnera totalement notre mode de vie : panier bio, couches lavables, produits ménagers home made, recyclage, petits pots maison, machine à pain et yaourtière...

Quand on me demande ce que je veux pour 2010, je réponds juste...que cela dure, encore et encore...que ce bonheur que je vis chaque jour persiste, signe...

Bon et si je pouvais gagner à l'Euromillions pour ne jamais avoir à retourner bosser, j'accepte hein. :-)

Je vous souhaite à tous et à toutes une Bonne et Heureuse Année, qu'elle comble tous vos souhaits les plus chers !

Et si l'on fêtait le premier jour de l'année par de belles photos de mon bébé ? Allez hop, c'est par ici !